Nabil Maaloul: « Se concentrer sur la tactique »

L’Equipe Nationale attaque ce lundi la dernière ligne droite de la préparation du match décisif face à la Libye, prévu pour samedi prochain à partir de 18H30 au stade de Radès.

Dans une interview accordée à Mosaïque FM, Nabil Maaloul a indiqué que Srarfi et Haddadi rejoindront la sélection cet après-midi, et que désormais le groupe sera au complet. La sélection prendra la direction de Tabarka dès ce soir pour un stage bloqué jusqu’à la veille du match.

Ali Maaloul est très important dans notre schéma de jeu

Le sélectionneur national a par ailleurs déclaré que les joueurs internationaux seront soumis à un travail psychologique spécifique (chose déjà faite avec les joueurs locaux pendant les 2 premiers stages), avant de se focaliser complètement sur l’aspect tactique. Dans ce cadre, il a confirmé que la stratégie qui sera adoptée pour ce match sera très similaire à celles qu’on a vues depuis le match de l’Egypte, avec quelques nouveautés pour surprendre et déstabiliser la sélection Libyenne.

Concernant la blessure d’Ali Maaloul, le sélectionneur n’a pas caché son optimisme quant au rétablissement éventuel du joueur d’Al Ahly avant la rencontre. Il a déclaré que la dernière IRM a montré que la blessure a presque complètement guéri et que le staff médical continue de prodiguer les soins nécessaires à notre latéral gauche pour qu’il soit prêt le jour J.

Nous allons imposer notre style de jeu dès le début du match

Sur ses impressions d’avant match, Maaloul a indiqué que de tels matchs se gagnent avant tout, même si avec les prestations des dernières rencontres (Egypte, RDC, Guinée), la sélection nationale se doit de présenter un beau football à chacune de ses sorties. Il a ajouté que la sélection Libyenne est une équipe très technique, et qu’au cours du match de samedi elle va devoir s’adapter à notre schéma de jeu parce que la Tunisie va imposer son style dès les premières minutes du match. Il a quand même insisté sur l’importance de l’équilibre attaque/défense, surtout que les Libyens maitrisent l’art de la contre-attaque.

A.G

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